Rouflaquett(e)

dimanche 31 août 2008

Ton univers impitoyable (part. 2)

Comme je suis une fille plutôt sympa qui essaye de tenir parole, voici la suite du feuilleton tout à fait haletant que vous attendiez tous, alors que je rentre de quatre jours à Bologne et que franchement, j'ai des choses bien plus ritales et velues en tête que ma journée de recrutement du 20 août.
En résumé, j'ai fini par comprendre qu'il s'agissait d'un poste de vendeuse dans une boutique de produits de luxe de la zone d'embarquement de l'aéroport Charles de Gaulle.







Bon, c'est un peu bâclé, mais j'avais d'autres poulpes à fouetter.
Tout ce que je peux vous dire, c'est que bien évidemment j'ai été engagée. Quand Zo postule pour un job, c'est le recruteur qui s'arrange pour se plier à ses exigences.

Bientôt, peut-être, un petit compte-rendu de la conquête de Bologne.

samedi 30 août 2008

Oook oook !

Les masses oisives se croyaient enfin à l'abri, les créationnistes commençaient à sentir le vent alcolisé de la feuille de vigne... même la forêt tropicale s'était remise sans vergogne à sa discrète épilation...

Mais tout cela comptait sans mon retour parmi la horde sauvage qu'est rouflaquett.

Commençons par le commencement : j'ai passé de trés bonnes vacances, et je compte bien en raconter une bonne partie ici. Dans mes valises chers lecteurs, j'ai ramené de quoi combler, satisfaire, voire même honorer chacuns d'entre vous.

Bien sur, tout cela ne se fera pas sans efforts/sueur/larmes/sacrifices/vaseline, et je me suis préparé à cette dure rentrée. Dailleurs sans vous faire attendre plus longtemp, voici le secret de ma forme Olympique, et mon livre de l'été :Un ouvrage fantastique.

Sinon au rayon des bonnes nouvelles, j'ai enfin trouvé de l'emploi sur angoulême ! OUaiss ! Et j'en ait même trouvé deux pour le prix d'un ! En premier lieu, je ferais équipe avec mangousteman chez un faiseur de hamburgers, et en second lieu, gardien dans un musée ! Donc un poste pour manger et un autre pour apprendre comme qui dirait.
Ma joie est indescriptible, je n'ai qu'une chose à dire : Yata.

mardi 26 août 2008

Burn baby, burn!!!

Avec un peu de recul, je me dis que vous seriez dans vot' bon droit de dire que Murtaugh et moi sommes des putains de fainéasses, que nous n'avons pas touché un crayon depuis plusieurs semaines, et que malgré tout cela ne nous empêche pas de poster des dessins réalisés il y a plusieurs mois (alors que tout les autres membres de la rouflaquett - sauf la belle Zo'- passent leur temps à s'excuser de ne rien branler pendant leurs vacances).

Oui, je le reconnais, nous avons péché par orgueil et par paresse, et mise-à-part les quelques notes de juillet, cet été aura été sous le signe de la récup', un peu "oldies" des fois, car oui nous avons puisé honteusement dans ces derniers mois de travail pour "décorer" ce blog.

Mais bon, vous avez déjà essayé de dessiner alors que vous êtes sur une plage espagnole en train de vous faire tartiner de monoï par votre co-auteur et meilleur ami ? Pensez vous sérieusement qu’il est possible de développer un récit graphique alors que vous êtes dans un bar tapas de la vielle ville et que toutes les femmes de l’assemblée vous dévore du regard, vous et votre compagnon de jeu ?



La réponse est non, bien entendu. Et je promet qu’à l'avenir, il n'y aura sur ce blog que du beau, que du frais, uniquement conçu dans le but d'affirmer le génie et la suprématie créative de la Rouflaquett team.

...mais quitte à faire quelque chose de mal, autant le faire bien, pas vrai? Alors je me permets un fois de plus de caser deux planches, en prétextant la continuité de série posté le 13 aout. Voili voilou !




dimanche 24 août 2008

Souvenirs Souvenirs !!

Et ben vu qu’il est de bon ton de poster sur ce site et au risque d'exhumer comme Riggs mes vieux boulots aux couleurs hm… chatoyantes.

Je rajoute ma pierre à cet édifice, avant de vous faire le récit la semaine prochaine de notre première épopée italienne...


Voilà... Richard III, un essai en couleurs, j'ai préféré arrêter... j'ai eu peur de finir coloriste chez Soleil avec des coulerus pareilles... HaAaAaAaaaaAAA !!

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samedi 23 août 2008

Messieurs les enfants

Riggs et moi nous somme de beaux jeunes hommes, hétérosexuels - ça va sans dire - à l'air jovial, et au teint rosé des buveurs de vin, un bordeaux si possible. Mais il faut que vous sachiez, mes chers amis rouflaqueux, que derrière nos airs de plébéiens gaéliques, nous sommes des créatures fragiles pleines de contradictions, et je dois avouer qu'il est parfois difficile de se mettre d'accord sur notre charte graphique.

Pour vous donnez un exemple, Riggs a cette mauvaise manie de passer sur nos planches ou nos dessins avec un gros pinceau noir. Et j'ai du lui faire descendre plusieurs litres de tequila con leche pour qu'il accepte de bien vouloir laisser tomber son pinceau pour des crayons de couleurs. "J'aime pas les crayons, me beugla t-il, c'est pour les mômes et les pédés!".

Donc voilà, deux planches de rien du tout faites aux crayons. Bien sûr, on ne change pas un Riggs comme ça, et il est passé derrière moi à coup de rotring, mais je ne lui en veux pas, car le bougre à reconnu que "ON aurait pu s'en passer...".

...avouez qu'il est trognon.



jeudi 21 août 2008

Ton univers impitoyable (part. 1)










Sophie parviendra-t-elle à être à l'heure pour sa journée de recrutement, sachant que la dernière fois qu'elle s'est levée avant midi, c'était il y a trois mois et demi? Réussira-t-elle à en mettre plein la vue à ses recruteurs, une fois qu'elle aura saisi pour quoi elle postule? Va-t-elle vivre une passion torride avec Guy Lagache, le mec qui présente "Capital"?
Des réponses au prochain épisode...

Ça roupille, j'vais vous secouer tout ça!

Alors avant qu'on me taxe d'opportuniste et de fainéant, je tiens à dire que nous n'avons de scanner à notre disposition, il nous est donc impossible de montrer quelque chose de frais. Et pourtant on bosse! Et puis comme ça tout le monde sera persuader que le rouflaquett team bosse non-stop!

Oui je sais, ces planches ont un peu quelques mois, mais j'avais envie de tartiner le blöug avec de jolies pâtés multicolores. Et si quelqu'un à un problème avec les couleurs, voyez ça avec Murtaugh! Moi je me contente de passer un gros coup de pinceau sur ses croutes...







dimanche 17 août 2008

LAMBERTINAGE

Alors là les cocos, c'est du gros, c'est du lourd!

Il y a six mois, lors les derniers hot d'or (Riggs et moi étions alors invités d'honneur), deux jeunes inconnus nous ont approché, un mâle et une femelle, en nous parlant d'un projet de film expérimental et documentaire, un truc complètement barré autour d'images d'archives de Christophe Lambert, avec comme trame de fond le casting d'un éventuel "Highlander reloaded".

Ni une ni deux, nous appelâmes la sécurité, pas sans avoir tenté de bouillave la femelle, qui s'est avérée être une féministe frigide bonnet D. "Quel gâchis" pensais-je alors.

Quelques semaines plus tard, je reçu un appel sur mon BLACKBERRY 8310 Curve. C'était mon vieil ami et producteur Hervé Maturin qui m'appelait d'Hanoï. Il m'annonça d'un air enjoué qu'il venait d'avoir la visite d'un jeune homme et d'une jeune femme, que ces derniers avaient écris un scénario, que selon eux c'était d'la bombe, et qu'ils aimeraient beaucoup qu'il produise leur film.

D'abord outré par tant d'insolence, Hervé lâcha ses chiens, mais après quelques instants de réflexion, il se ravisa, rappela sa meute et accepta de lire le manuscrit. Au préalable il proposa une soupe de langues suivi d'une tarte aux poils à la fille - qui refusa catégoriquement - avant de se tourner vers le jeune homme qui lui semblait plus à même d'élargir le cercle de ses amis.

Le script s'avéra digne d'intérêt et le projet filmique fort audacieux. Nous ne pouvions pas fermer les yeux sur tant de topisitude et manquer une seconde fois la chance qui nous était donné d'être rattacher à cette merveilleuse aventure du 7ème art (ce fut également l'occasion pour Riggs de blanchir quelques gains fait à Monaco)

Aujourd'hui, c'est avec plaisir, et une immense fierté, que nous vous présentons LAMBERTINAGE.






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jeudi 14 août 2008

Joyeux anniversaire dans ta face!






Aujourd'hui, Kreun a 48 ans... mais il ne les fait pas.
Toute la Rouflaquett(e) team lui souhaite plein de roubles, de caleçons Ninja Tiger, de putes à la bolognaise (pâtes/putes, z'avez saisis? Ha ha...non? Bon...)et de conférences sur les calculs rénaux de Napoléon.
Et beaucoup de bonheur aussi...(nan, j'déconne)!

mercredi 13 août 2008

Bolino, bolino!

Je ne sais pas pour vous, mais je trouve qu'il y a une ambiance estival sur sur ce blög....c'est pitet parce qu'on est en été (bon ça c'est dit...).

Me voilà de retour à paris, ville des lumières et des imbéciles. Quelle joie de pouvoir à nouveau me fondre dans la masse grouillante et glaireuse, et ne faire plus qu'un avec le macadam, tel un vieux malabar abandonné aux semelles des passants parisiens qui, rappelons le, sont tous des imbéciles.

Mais je garde espoir...surtout Murtaugh, qui à l'heure où je tape ses lignes est sûrement en train de faire du coloriage façon ravensburger. Mais nous sommes une équipe et malgré la distance nous poursuivons notre tâche: bientôt sur ce blög, des tas de trucs chouettes et rigolos fait dans le seul but de vous faire rêver, et ce afin d'oublier vos cheveux qui tombent, vos épaules poilues et vos pertes blanches.

Je vous avais dit que je vous ferais rêver.

Mais en attendant, un peu de réchauffé.









mardi 12 août 2008

Fratelli d'Italia...

Parce qu'en Octobre je pars pour six mois en Ritalie, à Bologne...
A moi les pizzas al taglio, les joueurs de calcio et les Toto Cutugno!
(Attention ami lecteur, quelques rimes foireuses se cachent dans cette note, sauras-tu trouver où?)






Je ne sais pas trop pourquoi je nous ai dessiné en maillots de bain, y a pas vraiment la mer à Bologne. Sans doute parce que c'est l'été, et que c'est plus glamour, et que...laissez-moi fantasmer per favore!
Et comme je serai accompagnée de Kreun, l'homme qui pratique le dessin naturiste, ça promet quelques trucs à quatre mains (je parle de dessins, là) qui risquent d'être fort bizarroïdes, vu comme nos styles respectifs sont proches.

Enfin, j'ai envie de clore cette note au parfum transalpin sur ces quelques paroles pleines de bon sens:

"Jamme jamme
'ncoppa jamme ia!
Jamme Jamme
'ncoppa jamme ia!
Funiculi Funicula
Funiculi Funicula
'ncoppa jamme ja!
Funiculi Funicula"

A méditer...

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dimanche 10 août 2008

Kreun vit tout ce qu'il avait fait et voici, cela était très...



Oui public comme Francis Huster, Kreun se met à nu pour toi...

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mercredi 6 août 2008

Visite de Zo(o)









Décidément je ne maîtriserai jamais les secrets de Blogger pour une mise en page à un format correct...

dimanche 3 août 2008

Ça se joue entre toi et moi, mec !


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samedi 2 août 2008

El impossible






Finalement, j'ai eu le courage de brancher mon scanner bien plus tôt que je ne l'avais prévu! Le moment est d'ailleurs fort propice; les écoles fermant et la populace de ce bloug se dispersant aux quatres coins de l'Angoumoisie, de la France et du reste de l'univers (oui,il semblerait que Kreun, le maillon faible de l'équipe, se soit perdu dans une galaxie inconnue), il doit rester à peu près deux lecteurs potentiels de Rouflaquett(e) de par le monde. Ce qui n'est peut-être pas pour me déplaire, finalement, au vu des affirmations scandaleusement fallacieuses balancées précédemment par ces deux Jean Foutres de Riggs&Murtaugh...
Voici donc la suite des quelques dessins publiés il y a peu. Vous constaterez que je me suis enfin mise à dessiner des décors (mais si, regardez bien, sur la deuxième image il y a de l'herbe, et sur la dernière, un banc.)
Vu la tournure que prennent les choses, il s'agira d'un conte initiatico-romantico-ridiculo-gangsta-chamanique sur fond de Guillermo de la Roca.
Ou pas.

vendredi 1 août 2008

Y'aurait sûrement eu du sport.

C'est la larme à l'oeil ( oui en fait Riggs pleure et moi je coupe les ognions), que je dépose cette note dans le petit bassin de la bd qu'est devenu notre blög, et ce en l'espace de pas si longtemps que ça mine de rien - prenez vous ça dans les dents coconino! - mais je m'égare et pas seulement d'Austerlitz.

Il se trouve que l'ESI ferme ces portes, et qu'en plus d'être à la rue, je vais être dans l'incapacité de vous lire ou de participer à cette formidable aventure qu'est la rouflaquett...enfin juste pour deux semaines, le temps que je ramène mes fesses sur paname.

Trêve de bilevezé. Je vous quitte mes frères et mes soeurs. Portez vous bien. L'ESI ne veut plus de nous? Tant mieux, nous ne voulons pas d'elle (snif)! Mais je ne pars pas sans laisser quelques crouttes plus très fraiches. ONE LOVE.