Hola chers amis et lecteur(s) !
En ce moment pas de grande nouvelle, pas de flonflons et trompettes, juste un retour de vacances dédié tout entier à la poursuite normale du travail.
Tout prend du temps, et une fois acceptée l'idée qu'on ne pourra pas réaliser d'un bloc l'ensemble des projets fumants, il faut choisir, faire une liste, établir des plans, et y aller.

En ce moment nos cuisines vous proposent :
Du découpage de bande dessinée dans sa sauce,
Un tartare de motifs sans motifs sur leur salade,
Une tortilla de volume dans son omelette.


En ce moment, travailler me donne l'impression de produire des objets qui ne provoquent aucun enthousiasme, et c'est bien dommage, parce que j'y éprouve pour ma poire une grande joie. Mais bon ça doit être ma paranoïa qui remue en dormant.
Un jour je vous parlerais de mon mémoire à venir, dont le sujet me passionne, et qui tentera un rapprochement joyeux entre la biographie de quatre grands inventeurs mécaniciens, et la façon dont on peut lire des peinture, des œuvres, et des images.
Durant mes vacances j'ai croisé de nouveau ma famille, et me suis trouvé dans l'incapacité de leur dire ce que je comptais faire dans le futur, ou même ce que j'avais bien pu faire pendant mes 6 ans d'absence ascétique aux beaux-arts.
Une fois de plus, je me trouvais balbutian à propos de mon avenir qui pourtant me semble clair et simple comme de l'eau de roche : je vais continuer mon travail.
Le but de ce mémoire sera, ni plus ni moins, de me montrer digne de mes parents et de mes ancêtres, en fabriquant un objet qui se fera l'intermédiaire entre moi et eux et mon admiration pour eux.
Libellés : Les bananes de Monkey