Rouflaquett(e)

mardi 15 juillet 2008

J'ai le regret de vous annoncer que ceci est la fin...

Salut les cocos, salut les poulettes!

Bon qu'est ce que c'est qu'ce bordel? On nous a dit que c'était un endroit respectable ici, pas un diaporama de personnalités lubriques et tordus, aux corps et à l'esprit grillés par les happy meals et les contes de fées sous œstrogènes! Alors que faire? Vous abandonner, et vous laisser patoger dans votre médiocrité? JE DIS NON!

Riggs et Murtaugh sont arrivés, et on a bien l'intention de remonter un peu le niveau. Non pas en vous racontant la vie trépidante de deux petits rongeurs kebbabovores, ni en vous filant des "niouze" toutes fraiches sur le film de l'été: Lambertinage, non non non rien de tout cela ma mie.

Je vais vous raconter la merveilleuse expérience audiovisuelle qu'on a vécu pas plus tard que ya pas longtemps.

Figurez vous que Dimanche dernier, et comme tout les week ends, Riggs et moi-même nous sommes levé au chant du coq afin de nous délecter des programmes culturels pour nains. On est alors tombé sur une série appelée JLA: la ligue des justiciers d'Amérique (ça c'est pour bien faire comprendre au reste du monde que personne ne va venir les sauvers de la guerre et de la faim; les JLA sont a-mé-ri-cain, pas mère Théréza!).

Alors je sais pas ce qu'on fumés les scénaristes de JLA, mais de toutes évidences ils ne devaient pas être dans leur état normal lorsqu'ils ont pondu le script de l'épisode qu'on a eu la chance de voir et que je vais m'empresser de vous narrer.

Alors c'est Batman et Wonderwoman qui surveillent une banque (ça donne envie d'être un super-héro, défendre le pognon avant tout!!), mais soudain une cambrioleuse débarque. Ni une ni deux, nos deux travestis sautent dans le vide (oui ils étaient sur une corniche, je sais je raconte mal) pour tomber sur la vilaine. Mais cette dernière est une méchante déesse qui change Wonderwoman en cochon.

Avec l'aide d'une amie magicienne (j'en voulais une aussi quand j'étais môme, ça et un ami robot), Batman va retrouver la trace de la méchante, qui chante dans un cabaret à Mykonos (???). Batsou l'affronte tant bien que mal, mais la méchyante est coriace et ne rechangera Wonderwoman en humaine que si...

...que si batman accepte de pousser la chansonnette. Le bougre s'exécute, monte sur scène et chante telle un crooner sous paracétamol. Finalement Wonderwoman redevient femme, merçi Batman, et vive la coke!

4 commentaires:

Blogger Unknown a dit...

Ben moi, tu vois, j'aurais bien aimé que tu parles de "Lambertinage", parce que ce petit flim a besoin de pub, et que ces réalisateurs se débattent dans la misère...
Hosanna au plus heut des cieux et gloire à toi pour cette première note...

15 juillet 2008 à 11:42  
Anonymous Anonyme a dit...

Ce qui m'amuse à un degré surprenant c'est que si Batman n'a que du paracétamol pour se défoncer, tout ce qu'il risque c'est une bone cyrrose (cirose ? siroz ? six roses ? Sire Oz ? Allez savoir !). Pour un justicier milliardaire, il aurait pu se trouver mieux.

15 juillet 2008 à 13:24  
Blogger Robin a dit...

Cette première note illumine ma journée : JB j'te kiffe. J'adore le dessin de batman, et décidement, vive rouflaquette.

15 juillet 2008 à 15:37  
Blogger Sophie Regnier a dit...

héhéhé c'est ce que tu m'avais fidèlement relaté ce qui ne prouve qu'une chose : tu parles aussi bien que tu dessines ! que dire de plus !
Ah si ! moi je préfère ROBIN ! Na !

23 août 2008 à 17:08  

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