Auprès de mon arbre, je vivais heureux...

Comme les plus assidus d'entre vous on pu le constater, nous n'avons plus beaucoup de temps à consacrer à ce sanctuaire qu'est la rouflaquette, où le poil est loi, le poil est roi.

Nous sommes à la merci des institutions universitaires et fascisantes qui attendent (que dis-je? qui exige) de nous toute une série d'analyses et de devoirs pour prouver nous n'étions pas en train de roupiller pendant les cours...ce qui était mon cas.

Bref, je suis outré. Depuis quand faut-il rendre des comptes à nos enseignants? Personne y m'a dit qu'il fallait écrire et retenir tout ce qu'on me raconte!

Donc voilà, je ne sais pas quand est-ce que vous aurez de nos nouvelles, chers lecteurs. Dans quelques semaines, quelques mois, qui sait. Vous allez me manquer, mais j'espère que Monkey, Kreun et Zo' vont reprendre la relève avec le brio qu'on leur connait (non pas Tartine, elle est dans la même galère que nous).

Avant de vous quitter pour me replonger dans mes notes (qui sont plus une succession de phrases inachevées), je vous lâche une ptite recherche.



Mes crayons de couleur mesure désormais entre 8 et 4 centimètres, ce qui à tendance à résuire mon "champs de manœuvre", je vous demande donc un peu d'indulgence.