Chaussettes dans la 9eme dimension.

Bonjour chers rouflaqueux et lecteur(s) !
Non non non je n'avais pas disparu, figurez vous que reclus dans mon laboratoire, penché vicieusement sur des machines d'une complexité effroyable, je ne faisait qu'ourdir une terrible MACHINATION !

Et cette MACHINATION à un nom, une forme et même une fonction terrible. Attachez vous bien, finissez votre gouda-jambon-salade et verrouillez votre œsophage, éteignez votre portable, les issues de secours se trouve à gauche et à droite de notre appareil, CAR IL S'AGIT :
De la PRESSE à CRIC !


Voilà voilà : alors c'est une presse pour imprimer du linoléum, et donc faire de la gravure. Elle marche plutôt bien (ce qui est rare à son age), et bientôt elle dira peut être "papa".
En ce moment j'essaye de réaliser le mode d'emploi pour que tout un chacun puisse réaliser chez lui ce petit bijou (sachant que tout l'outillage nécessaire se compose d'un cutter, de scotch double-face, et d'un marteau -où alors d'une grosse pierre-).
Le but est ensuite d'exposer l'une (la presse) et de diffuser l'autre (le mode d'emploi).
Si vous vous demandez ce qui me pousse à faire tout ça je n'ai qu'une réponse et une seule à vous fournir.

Et alors que de mes pieds préhensiles (avantage de poids lorsqu'on est imprimante, pardon, un primate,) travaillent sur la presse à cric, mes mains s'affairent à avancer la conception graphique d'un jeu nommé anti-matière, et dont je ne puis rien vous dire pour l'instant, mais vous montrer des trucs est beaucoup plus efficace :

(ouais, ouais, je sais, ça pèse pas lourd encore, mais bientôt si.)

Et quand je suis lassé, usé, fourbu de tout ce labeur, que mes chemises partent en lambeaux de part l'érosion que des flots de sueurs laborieuses ne manquent pas d'entrainer, je m'accorde un peu de repos : juste le temps d'un p'tit gâteau !

En ce moment la patisserie c'est mon kif, ma drogue, ma marotte, c'est ma croute à gratter, mon écharde à enlever, ma petite manie sucrée et coupable et énervante pour mes collocs qui se tapent (aussi) la vaisselle.

Je vous aime rouflaquett's et toi aussi lecteur(s). Désolé de ne pas poster plus souvent, mais si par hasard tu passes un jour vers chez moi, entre, et on discutera, on boira du thé et je te ferais un gâteau (entre autres choses, et selon le lecteur).

Dessins

Bonsoir,
Voici les dessins d'un carnet qu'en ce moment je tiens.
Je l'ai appelé Je vais te faire remonter dans les couilles à ton père; douce insulte qu'un modèle me lança.














à Bientôt.

Cap'tain coke

Je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé en soirée d'être bloqué dans un coin par un gros lourd sous coke qui cherche à partager avec vous (ou avec une plante verte) sa connaissance sur l'univers...parce que nous si!


Et puis finalement on a eu un petit break lorsque le mec voulu impérativement aller aux toilettes (se repoudrer le nez j'imagine), mais il n'a pas manqué de bien nous préciser que "CETTE CONVERSATION N'ÉTAIT PAS FINIE!!!"

Et bien sûr on s'est barré.

Une semaine sans post.

Est-ce parce que l'hiver vient de terminer et que vous ne vous êtes pas encore étiré? Non. Est-ce Zemmour et Besson qui vous foutent la haine et donc plus personne n'est capable ni d'écrire ni de dessiner? Est-ce le printemps alors vous êtes sorti chanter et danser à tue-tête Douce France? C'est ça? Non, vous préparez Le No-Sarkozy day de samedi, alors c'est pour ça que plus personne n'est capable ni d'écrire ni de dessiner? Oui, ça c'est une bonne raison pour ne pas se tirer les doigts.

J'ai fait un Gabin

Je glande, je glande, je glande, c'est infernal! Ya rien qui me motive en ce moment. Surtout que Murtaugh à choisi de bosser son mémoire, m'abandonnant lâchement à ma paresse.

Résultat, comme je savais plus quoi faire, j'ai dessiné Jean Gabin.


Je rêve souvent de Jean Gabin. Il m'apparaît dans des rêves colorés et moites, où je danse en maillot de bain dans les rues de Santiago du Chili. Il s'approche de moi, de sa démarche de moissonneuse-batteuse, pose son regard bleu et humide sur moi et me dit:

"Riggs mon petit, je t'en conjure, ne te laisse pas faire par ce con de Murtaugh. De vous deux, c'est toi le cerveau!"

Je sais pas trop comment interpréter son message...

Voir ma culotte et mourir...

Parce que j'ai abandonné ce blog bien trop longtemps, et que je mérite d'être châtiée pour cette longue absence sur le front Rouflaquien, je me devais de faire un come-back fracassant avec une note à l'avenant, avec le poids des mots et surtout le choc des images.
Après la leçon de séductivité de nos Riggs et Murtaugh chéris, il me semblait judicieux de rester dans le charme, la finesse et l'élégance. Dans ce cas, quoi de mieux que de vous montrer ma culotte?
Et pas n'importe laquelle: celle que le légendaire Kreun m'a offert pour mon anniversaire, customisée par ses propres soins avec ses petites mimines, pour illustrer des expressions qu'il emploie régulièrement lorsqu'il observe ma réaction au passage de jeunes et appétissants mâles...


Côté face: Hiroshima dans ma culotte



Côté pile: Guernica dans ma culotte



On a jamais dit que c'était de bon goût, mais c'est beau...

Et parce que je ne peux décemment pas revenir et me faire une note ni vu ni connu sur le dos du camarade Kreun, voici quelques crobards, en attendant une VRAIE note...

Leçon de séductivité

Vous savez, même si personne ne veut le reconnaître, Murtaugh et moi aimons croire que nous sommes un peu la pierre angulaire de la rouflaquett. Des sortes de "role-models" pour tout ceux qui nous côtoient au quotidien.

Nos nombreuses expériences et nos longues années d'études sur tout ce qui touche de près ou de loin (mais surtout de près) au zizi et au pilou-pilou ont fait de nous une sorte de phare dans les ténèbres opaques de la nuit pour nos frères et nos sœurs égarés sur les eaux brumeuses des choses de l'amour. Et parce que nous nous considérons avant tout comme des artistes-reporters, quoi de plus normal que de vous rapporter un de ces grands moments de transmission du savoir.

Que dire de plus si ce n'est que cette courte mais intense vidéo peut choquer les âmes sensibles et les personnes du troisièmes ages (ou alors les gens qui aiment le cinéma). A ceux-là nous présentons nos plus plates excuses...et en même temps merde, nous ça nous fait marrer, alors faites pas chier!!!!

Ah oui et puis pour ceux du fond qui se demandent pourquoi j'ai une drôle de tête, cliquer ici

Le Salon du refusé

Non… vous ne rêvez pas !

Non… c’est bien Môsieur Kreun qui vous écrit ces quelques lignes !

Oui… vous avez oublié qui est Kreun vu le temps qu'il prend entre chacune de ses notes !

Mais Kreun est là, et il vous poste plus qu'une image... non pas deux… ni même trois, mais bien quinze images que votre serviteur vous balance à la tronche !!!

Ça change… c'est même beau, j'en ai limite les larmes aux yeux !!

Enfin beau… ça a été balancé en 24 heures… scénario… découpage… personnages… la première fois de sa vie que ça lui est arrivé au Kreun… sur le cul… pas habitué il a pondu les 15 planches de la BD en 24 heures… 9 planches qui lui manquaient… allez savoir… veut toujours faire son malin ce con… et tellement il a voulu faire son malin… et bah cet abruti s’est retrouvé bloqué à la fin… se faisant refuser l’entrée au Saint-Sépulcre... le site des 24 heures que vous a déjà montré Monseigneur Monkey un peu plus haut !

Alors le Kreun, il s’est retrouvé là… avec ses planches, sans pouvoir en faire profiter personne… mince, il s’était donné tant de peine… et son idée était si géniale !! Ça fout les boules… mais heureusement la Rouflaquett est là !!

Pas de chance faut que ça vous retombe dessus… Kreun s’excuse !