Rouflaquett(e)

mardi 1 mars 2011

Miroir, miroir, mon beau miroir...

On aurai aimé vous présenter deux dessins aujourd'hui au lieu d'un...hélas, milles fois hélas!

À force d'appuyer comme un malade avec ses crayons - en particulier le crayon rose - Murtaugh défonce nos dessins et les fait gondoler. Et ça se voit au scan. Donc on fait subir à cette malheureuse feuille le supplice des bottins: on l'écrase à avec plein de bouquins vachement lourds qu'on ouvre jamais (genre Comix 2000, huhuhu) jusqu'à ce que la feuille soit toute plate!

Donc juste un dessin, mais c'est déjà mieux que rien.


Oyez oyez, chers rouflaqueux! Ceci est le 299ème message de la rouflaquett, ce qui veut dire que le prochain post sera le 300ème (bravo Sherlock...). J'en appelle à tout mes coreligionnaires du poil afin de faire de cette évènement moindre et somme toute anodin un festival de créativité et de bon gout!

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2 commentaires:

Blogger Valentin Szejnman a dit...

je craque! Je n'en peu plus d'attendre le dénouement de cette promenade entre des murs Malabar. Je vais m'effondrer devant ce regard scrutateur. Y-a-il réellement un miroir dans le cadre disposé sur le mur ou le cadre est-il vide? Dans ce dernier cas Le mur est comme un moniteur de télévision. L'image est diffusée par le mur. Il porte en lui sa lumière.

4 mars 2011 à 10:22  
Blogger Riggs et Murtaugh a dit...

Comme je te reconnais là, mon cher V! Tu es constamment à la recherche de nouveaux systèmes de narration/séquence/page...

Las, Riggs et moi n'avons pas ta poésie, et notre histoire de murs-malabars n'abordera tout simplement pas la problématique que tu as sagement soulevé.

6 mars 2011 à 14:16  

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