Rouflaquett(e)

mardi 1 décembre 2009

Trois petites cases et puis s'en va!

Quelle galère! On met deux fois plus de temps que prévu pour dessiner ces trois pages à la con! On a un peu de mal à accélérer la cadence, et je ne saurai pas trop vous dire pourquoi. Des fois je me dis que si nous n'étions pas deux, notre boulot avancerait peut être encore moins rapidement.

Ci -dessous une petite séquence (qui n'apparaitra pas de la sorte dans le rendu final).

J'ai un profond respect pour Murtaugh. Pas seulement parce qu'il arrive à me supporter 24h/24 (oui il m'arrive de dormir sur son canapé....ou dans sa baignoire), mais parce qu'il sait faire preuve d'un calme et d'une patience qui force le respect.

Par exemple, en ce moment il fait des remplacement à la caisse du cinéma du CIBDI (et moi je le soutiens en sirotant du Fanta). Et bé figurez-vous que Murtaugh est un homme en fer, un monument de self-control, totalement imperméable aux momies cinéphiles de 76 ans qui vous raconte leur vie et les derniers films qu'elles ont vu...

3 commentaires:

Blogger Unknown a dit...

Arnold et Willy vous rétorqueraient qu'il faut de tout pour faire un monde, même des momies cinéphiles de 76...

1 décembre 2009 à 23:01  
Blogger Robin a dit...

Dans ces moments là, il faut voir le coté positif... Tiens, la tapisserie derrière cette momie cinéphile de 76 ans me parait soudainement trés intéressante !

2 décembre 2009 à 10:16  
Blogger Kévin Bonin a dit...

Il faut surtout reconnaitre que ces moments sont bien des défis ultimes à la patience, qu'ils permettent de révéler le meilleur de toi-même quand tu dois refouler à chaque seconde le flot paroles lasses qui ne demandent qu'à s'exprimer...

Bienvenue dans le monde impitoyable de l'amabilité forcée.

3 décembre 2009 à 11:52  

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